• Expérience Congolaise de la Justice Transitionnelle

    Vendu Par : Buku de Kin

    Adolphe KILOMBA

    Catégorie : Sciences humaines

    Ce livre parle pour lui-même, et pour les victimes, par la voix d’un praticien dont la tâche est de tirer le meilleur de ce qui a été fait ailleurs, afin de l’adapter comme un ensemble cohérent à un environnement qu’il connaît de l’intérieur. La force d’un système de justice transitionnelle holistique est de lancer un processus de réconciliation nationale qui ne peut être établi depuis l’étranger avec une boîte à outils de paix libérale. Alors que le pays peine à se relever d’un conflit toujours actif, seul un processus de justice transitionnelle holistique peut tirer le pays vers le haut. Ne prenons pas le luxe de continuer à passer à côté.”

  • Guide Des Libertés Publiques

    Vendu Par : Buku de Kin

    À jour des évolutions récentes, cet ouvrage couvre le programme de libertés publiques et de droits fondamentaux, matière névralgique à la fois de la licence 3 des facultés de droit, de l’examen d’entrée aux CRFPA et du concours de l’ENM.

    Organisé par notion, il permet d’appréhender rapidement et précisément les principaux enjeux de la matière : l environnement juridique des libertés ; les garanties des libertés ; les libertés individuelles physiques et intellectuelles ; les libertés relationnelles politiques, sociales et économiques, etc.

    Ces thèmes sont développés sous la forme de fiches thématiques structurées de la manière suivante :

    – repères essentiels (définitions) ;

    – explications précises sur les thèmes fondamentaux ;

    – exercices corrigés (cas pratique, dissertation, étude de cas, etc) ;

    – références bibliographiques pour approfondir.

    Une table des sources juridiques très détaillée vient compléter cet ouvrage, permettant ainsi au lecteur d avoir un support solide de référencement pour étudier.

  • L’administration de la Preuve en Matière des Violences Sexuelles face à l’Intime Conviction du Juge : Cas du Juge Congolais

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    Vendu Par : Buku de Kin

    L’ADMINISTRATION DE LA PREUVE EN MATIERE DES VIOLENCES SEXUELLES

    Faustin WESSA

    Catégorie : Romans & Essais – Essais

    L’ouvrage est une étude sur la question de l’intime conviction du juge dans la grande thématique de l’administration de la preuve et singulièrement en matière de violences sexuelles pourrait se comprendre comme une répétition et/ou une redondance si l’auteur ne met pas la pertinence de la question dans son contexte et ce, à travers l’approche entreprise dans la pertinence des enquêtes et la conformité de pratiques judiciaires dans les mécanismes de répression des infractions de violences sexuelles dans les zones de l’Est (RDC).”

  • Quand Les Enfants Crient Misère

    Vendu Par : Buku de Kin

    Quand les enfants crient misère de Bernard ILUNGA Kayombo

    Fiche de lecture de Nicole Rowley du Comité de lecture Nord

    Un groupe d’enfants des rues folâtre dans la rivière Kafubu tandis que le charismatique Sinandugu, 14 ans, s’inquiète de leur prochain repas. Après la mendicité, le vol reste l’un des meilleurs moyens de subsistance pour ces gosses abandonnés à eux-mêmes. Mais pour ce jeune chef de clan naturel, craint et respecté par tous les gamins, il serait temps d’essayer une autre voie.

    Le service de porteur ne rapporte pas grand-chose et la concurrence est rude entre cireurs de bottes. De plus, les gendarmes n’interviennent pas toujours à bon escient ! Sinandugu, surnommé Rambo, en sait quelque chose lorsqu’il est injustement arrêté à la suite d’une bagarre avec un clan rival.

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    L’un des gamins, Mulanda, tombe gravement malade : il est atteint de malaria et il lui faut absolument des médicaments. Sans argent, les enfants sont refoulés du dispensaire. Une décoction de feuilles de papayer, obtenues par subterfuge, fera provisoirement baisser la fièvre de Mulanda. Mais comment sortir du cercle vicieux de violence exercée à leur endroit alors qu’ils essaient par tous les moyens d’être honnêtes ?

    Aux portes des couvents, comment se distinguer des filous qui se mêlent aux vrais nécessiteux ? Les religieux sont débordés par la demande. Et les enfants des rues ne sont rattachés à aucune paroisse qui puisse leur venir en aide.

    Au couvent, une jeune missionnaire canadienne, sœur Consolatrice, leur fait confiance et accepte de les aider. Elle va soigner Mulanda. Après deux jours de cachot, injustement accusés de complicité avec les voleurs adultes qui les hébergeaint, les enfants font le projet d’une manifestation pour mettre la société devant ses responsabilités. Soeur Consolatrice les soutient. Elle les encourage à rédiger un communiqué en français et en swahili qu’ils se chargeront de lire dans les églises avant le renvoi des fidèles.

    Le résultat s’avère inégal, sporadique et temporaire. Un article rédigé par un journaliste qui a interrogé Tshibwabwa sur les marches de l’église après la lecture du communiqué va relancer l’affaire. Les enfants organisent une marche pour rappeler les adultes à leurs devoirs devant une foule inquiète qui croit voir venir un pillage et appelle les gendarmes.

    Face à l’adversité, les enfants organisent un sit-in et désarment la police par leur non-violence. Ils entonnent le chant « Leo njo leo » en signe de refus de leur marginalisation. Ils reprennent leur marche sous la surveillance bienveillante des gendarmes, ilmés par les journalistes.

    C’est ainsi que l’APED (Association Pour l’Enfance Défavorisée) finit par voir le jour, grâce à l’initiative d’un cardiologue et d’une missionnaire. Suite à un infanticide, leur première action s’intéresse au sort des fillettes abandonnées. Des appels à l’adoption sont lancés avec le soutien des médias, tandis que l’association reçoit une aide substantielle de l’UNICEF et des églises, ce qui permet d’offrir trois repas par semaine à 180 fillettes.

    L’APED doit embaucher des travailleurs tellement la tâche est lourde pour des bénévoles. Deux communautés religieuses, l’une masculine, l’autre féminine, vont s’associer au travail de l’APED. Puis, en attendant que les promesses des autorités politiques se concrétisent, avec l’aide d’organismes internationaux et de quelques citoyens de bonne volonté,  on ouvre une ferme-école à Lumbubashi et des centres d’accueil dans chaque zone.

    Sur les enfants « shégués »

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